Modèle : Outremer 55 n°1

Projet : un tour du monde en famille, 2021-2024

Ce second tour du monde se fera traditionnellement d’est en ouest, via la route des alizés. Nous essayerons de visiter des îles et des pays que nous n’avions pas explorés lors du premier tour du monde comme les San Blas, les Gambiers, les Australes, Palmerston, Tonga, Vanuatu, Rodrigues, Ascension…

SES qualités : 

Après un premier tour du monde sur une Outremer 51, nous étions à la recherche d’un bateau un peu plus véloce, avec plus de longueur de flottaison, pour plus de confort en mer, avec un carré un peu plus spacieux, mais qui garde la simplicité de manoeuvre de notre Outremer 51. Le chantier Outremer  nous a convaincu d’être les premiers clients de l’Outremer 55. Il s’avère très agile dans le petit temps malgré ses volumes, puissant dans la brise, confortable en mer et offre une plateforme exceptionnellement spacieuse pour un bateau aussi marin : le volume habitable du carré est très appréciable, car les enfants grandissant, ils prennent plus de place! 

Pourquoi ce nom ?

Parce que dans nos familles, la voile est un art de vivre transmis de générations en générations. Avec des parents qui ont toujours navigué, des oncles et tantes qui ont toujours eu des bateaux, des cousins partis eux aussi autour du monde, notre histoire n’a rien d’original… Nous avons le sentiment de n’être qu’un maillon dans cette longue…. Saga familiale. 

Modèle : Outremer 51, n° 39

Projet : un tour du monde en famille, de 2016 à 2018

SES qualités : 

L’Outremer 51 nous a séduit car c’est un catamaran marin, rapide, disposant d’une belle habitabilité pour notre famille de 5, et permettant aussi d’inviter un couple ou une autre famille à bord. Nous avions pu essayer le bateau à deux reprises, car deux de mes cousins étaient en grand voyage, Laurent sur son Outremer 51 Crazy Louise, Michel sur son Outremer 49 ILO2. L’essayer c’était l’adopter. 

Pourquoi ce nom ?

Tant pour nos enfants que pour nos bateaux, nous aimons les noms court, musicaux et graphiques, faciles à prononcer dans toutes les langues. Moby est un chanteur, mais surtout un cétacé, cachalot albinos indépendant et fièr, animal de légende de la littérature maritime. 

Qu’est-il devenu?

Moby a été vendu à notre retour de tour du monde, à des amis, qui l’ont rebaptisé Eleven. Ils  naviguent tous les étés en famille et entre amis en Méditerranée, Corse, Sardaigne, Baléares, et partiront sans doute un jour pour des horizons plus lointains.

Modèle : Copain d’abord, 14m

Monocoque en aluminium de 47 pieds, construit chez Leguen-Hemidy, il est l’ancêtre du Levrier de Mer.

Projet : un tour du monde en famille par les 3 caps, 2007-2008

Acheté d’occasion à son premier propriétaire à Phuket en 2004, nous lui avons fait faire un gros refit intérieur-extérieur, puis convoyé en duo à l’île Maurice en 2005. Le projet est alors de partir pour une boucle autour du monde de 18 mois dans l’hémisphère sud via les 3 caps, avec notre fils Victor, l’année de ses 3 ans.

SES qualités :

Nous avions repéré ce monocoque en aluminium en Thaïlande : performant avec ses ballasts et son lest, il est facilement maniable à deux. C’est un vrai bateau de voyage qui alignera sans soucis ses 180 NM par jour dans les alizés. Son atout : une quille relevable, qui lui permet d’être performant au large, et d’accéder aussi aux mouillages peu profonds. 

Pourquoi ce nom ?

Parce que à l’époque, nous habitions l’île Maurice où nous étions expatriés depuis quelques années. Nous avions aussi beaucoup voyagé précédemment pour le travail, jusqu’à vivre pendant 2 années avec seulement 2 valises : après ces années d’itinérance terrestre, nous nous rêvions Nomades des mers, pour explorer l’Océan Indien et le Pacifique. 

Qu’est-il devenu?

Nous l’avons revendu en 2008 après avoir renoncé à ce beau projet, en raison de problèmes de santé de notre fils ainé. Aujourd’hui, c’est un ami, Jean-Marc qui en est devenu propriétaire : il vient de lui offrir une seconde jeunesse avec un refit complet. Il navigue en famille et entre amis autour de l’île Maurice. 

Modèle : Pogo 1, n° 7

Projet : mini-transat 1999 , puis 2001. 

Loïc s’entraine et participe aux courses de sélections de la classe Mini (Mini-Fastnet 1999), et se qualifier pour la mini-transat. Pour des raisons professionnelles, il ne pourra pas se libérer pour participer à la course.  Il en sera de même en 2001. Nous ferons également quelques mini-croisières côtières en couple en Bretagne et en Méditerrannée .

SES qualités : 

Ce bateau de série de mini-transats se révèlera un grand succès  pour le Chantier breton Structures, qui en construira plus d’une centaine. Rapide, facile à manier en solitaire, il est quand même sympa aussi à deux pour partir en week-end.

Pourquoi ce nom ?

Parcequ’il est tout petit ce bateau, rapide, hyper agile, et finalement assez énervant pour les autres croiseurs plus gros et plus anciens que nous doublons régulièrement au portant…

Qu’est-il devenu?

Quand nous quittons la France pour vivre à l’île Maurice, nous le revendons à un jeune ingénieur qui part seul faire un tour du Monde. Il n’en reviendra pas, et disparait en mer au large de l’Argentine en 2006. Des restes du bateau s’échouent quelques mois plus tard sur les côtes de l’Uruguay…..